Soluce Prisoner of Ice : 5 - Buenos Aires

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Soluce Prisoner of Ice : 5 - Buenos Aires

Accès rapide :

"Quelques jours après avoir quitté la base Edwards, on me félicita, pour ma réussite. Les documents codés avaient permis de retrouver la trace d'un certain John Parker. Cet homme était un expert en rites magiques et un ancien ami de Hamsun. Dans une lettre adressée à l'anthropologue, Parker mentionnait un livre de la bibliothèque de BUENOS Aires dont la référence était OTR 2832. Ma mission si je l'acceptais et je crois que je n'avais pas trop le choix, était de trouver Parker ou le livre".

LE HALL DE LA BIBLIOTHEQUE

C'est ainsi que je me retrouvais dans le hall de la bibliothèque. Au milieu de la pièce se trouvait un socle, qui curieusement était vide. En gravissant les marches du bâtiment, j'avais remarqué deux musiciens en train de jouer, après que je sois passé le violoniste avait rangé son instrument dans une mallette et était rentré derrière moi dans la bibliothèque. Je m'adressais à Hernandez le réceptionniste, le portrait type du fainéant. Je lui demandais pourquoi le socle était vide, en prenant son temps il m'expliqua qu'un disque de grande valeur était exposé dessus, mais qu' hier on l'avait dérobé. Je lui dit ensuite que je désirais consulter l'ouvrage OTR 2832. Il prit son téléphone et communiqua ma demande au conservateur, ce dernier désirait me rencontrer. Hernandez d'un effort surhumain me désigna le bureau. Une jeune femme attendait aussi d'être reçue. J'apprit que c'était Diane la fille du professeur Parker, elle était inquiète car son père avait disparu en même temps que la pièce volée. Je me présentais et lui expliquais que moi aussi je cherchais son père... Nous pénétrâmes dans le bureau.

OBJET TROUVE: aucun.

LE BUREAU DU CONSERVATEUR

Nous fûmes accueillis par Jorge le conservateur. C'était un homme de goût et de lettres calme et réfléchi. Il avait avec lui Miguel son lecteur, car il était aveugle. Diane lui demanda si il avait des nouvelles de son père, il dit que non, par contre il signala que des policiers en civil surveillaient le bâtiment depuis le matin. Comme je lui posais la question, Jorge m'expliqua que Parker consacrait toute son énergie à l'étude du disque solaire. Jorge était persuadé de l'innocence de Parker, bien que la police le soupçonna du vol, il pensait que le professeur l'avait plutôt caché pour une raison inconnue. Je demandais si OTR 2832 était un mot de passe. J'avais vu juste, le conservateur demanda à Miguel de lire.

Son récit fut très instructif, on y parlait des grands anciens, du disque solaire, de rebelles emprisonnés dans les glaces éternelles du pôle sud, et d'incantation maudite. Nous étions en pleine histoire, quand Hartland le musicien fit son entrée, il avait troqué son violon contre un colt et n'avait pas l'air de plaisanter. Le gredin voulait le disque solaire.
Ce fut la première fois de sa vie et aussi la dernière que Hernandez voulut faire du zèle, il intima l'ordre à Hartland de sortir du bureau, pour toute réponse il reçut une volée de plomb qui l'envoya vers une sieste définitive. Ce qui se passa ensuite me laissa marqué pour la vie. Comme si je m'étais divisé en deux, mon double apparut derrière Jorge assis à son bureau, il tenait un énorme flingue à la main et balança un rayon sur le péril teuton. Le corps de Hartland fut gelée, puis il s'écroula en morceaux de glace. Le genre de glaçons que je n'aurais pas mis dans mon verre, de peur de faire tourner mon sirop. Après avoir finit son acte de civisme, mon double se tourna vers moi et me dit cette phrase " il existe d'étranges éons où même la mort peut mourir ". Puis il me fit un clin d'oeil, se retourna face au mur et s'évanouit dans l'espace !!! Nous étions tous sous le choc, Jorge que sa cécité, avait privé du spectacle, revint le premier sur terre. Il me donna une page de l'OTR 2832 et déclencha dans le mur l'ouverture d'une cache secrète, pour que Diane et moi nous nous dissimulions avant l'arrivée de la police.

OBJET TROUVE: 1 page.

A l'abri dans notre planque nous assistâmes à l'intervention des policiers. Jorge ne voulant pas répondre aux questions, les flics l'embarquèrent avec Miguel. Diane était décidée à continuer l'enquête, elle voulait se rendre sur la terrasse et passa devant. Au bout de quelques instants je décidais de la rejoindre. J'arrivais enfin dans la salle des manuscrits.

LA SALLE DES MANUSCRITS: rez de chaussée.

Diane me révéla que son père venait souvent travailler ici. ,L'accès vers la terrasse n'était pas évident... Pour éviter les indésirables, des mécanismes avaient été mis au point. Contre un mur je récupérais une canne blanche. La lecture m'avait toujours passionné et je prenais trois ouvrages qui attisaient ma curiosité, ( un de Sophocle, un de Goethe et un de Shakespeare ). En saisissant le livre des frères Wright, je déclenchais l'ouverture d'une trappe. Après un périple à quatre pattes nous Montâmes à l'étage supérieur.

OBJETS TROUVES: 1 livre de Sophocle, 1 livre de Goethe, 1 livre de Shakespeare, et une canne blanche.

LA SALLE DES MANUSCRITS: première corniche.

Nous grimpâmes à l'échelle, mais il manquait un barreau. Ceci ne gênait pas l'homme d'action que j'étais mais la galanterie me poussa à trouver un système pour éviter à ma nouvelle amie une montée dangereuse. Je remplaçais le barreau absent par la canne blanche, et nous pûmes continuer notre ascension.

OBJET TROUVE: aucun.

LA SALLE DES MANUSCRITS: deuxième corniche.

En fouillant je découvris un emplacement vide avec des rainures. Je pris les trois livres et les posait de gauche à droite dans l'ordre chronologique de leur parution ( Sophocle, Shakespeare, Goethe ). Une ouverture se déclencha et un escalier apparut. Il ne nous restait plus qu'à l'emprunter.

OBJET TROUVE: aucun.

LA SALLE DES MANUSCRITS: troisième corniche.

Les personnes qui avaient conçu le mécanisme de sécurité possédaient un humour à faire pleurer de jalousie Laurel et hardy !!! Un bouton "ON-OFF" était installé bien en évidence, mais bien sûr il ne servait à rien. Il suffisait de continuer à faire le tour de l'étage pour tomber tout bêtement sur un escalier, quel humour !!!

OBJET TROUVE: aucun.

LA SALLE DES MANUSCRITS: quatrième corniche.

En arrivant là, je trouvais une porte fermée. Je sentis monter en moi une grosse colère. Dans la pièce il y avait cinq bustes, je saisis la tête de celui qui était le plus près de l'escalier, et de rage je la tournais. Quelle ne fut pas ma surprise, quand je constatais que mon geste d'humeur avait déclenché une ouverture dans le buste central. A l'intérieur de ce dernier je trouvais une clef, me permettant d'ouvrir la porte.

OBJET TROUVE: 1 clef.

LA TERRASSE

Nous étions enfin parvenu sur cette maudite terrasse qui s'étageait sur 2 niveaux. Nous restâmes au second où trois statues géantes prenaient le frais. Avec Diane nous remarquâmes que celle représentant un Discobole tenait un disque bizarre, et je décidais d'aller y voir de plus près. Je montais sur la statue de Venus puis je sautais sur celle de Jupiter, et je l'escaladais (d'autres eussent préférés l'inverse !). Arrivé sur son épaule, je longeais son bras, jusqu'à pouvoir saisir l'objet que tenait le Discobole. Puis je le passais à Diane. Cette dernière n'eut guère le temps d'en profiter, car j'avais à peine commencé ma descente, qu'elle se mis à hurler. En effet Dietrich un officier Allemand aussi fou et cruel que mégalomane, se tenait au premier niveau, accompagné de deux hommes en civil tenant des mitraillettes. La poupée galonnée avait de l'humour (l'humour de la honte), il me remercia d'avoir mis mon intelligence et ma souplesse à son service pour récupérer le disque solaire. Il me pria de le remettre à ses charmants "Kollaborateurs". L'aventure prenait une tournure qui me déplaisait fortement !!!

OBJET TROUVE: aucun.

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