Soluce Prisoner of Ice : 1 - Le sousmarin I

Sortie sur PC | Sortie le 07/04/08 sur Saturn |
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Soluce Prisoner of Ice : 1 - Le sousmarin I

Accès rapide :

"1937, le cercle polaire, au coeur du continent arctique... Un dénommé Hamsun, anthropologue de son état, contactait une base Anglaise par radio. Ce dernier était retenu prisonnier par les Allemands, il expliqua qu'il allait s'évader et qu'il lui fallait de l'aide. Question de vie ou de mort... Les Anglais envoyèrent un sous-marin, le HMS Victoria, avec un commando à son bord. Hamsun leur avait donné rendez-vous sur la banquise près du volcan Spratley. Je passe sur les détails de cette fuite rocambolesque. Grace à l'intervention des commandos de sa majesté l'anthropologue "emprunta" une autochenille. 3 caisses de bois étaient à bord. C'est en regagnant l'abri que leur offrait En regagnant le Victoria qu'ils furent attaqués par un avion Allemand. Le commando fut décimé et une des caisses détruite dans d'horribles conditions. Les soldats du submersible ne purent récupérer que les deux autres caisses et évacuèrent le savant, en proie au délire".

LE POSTE DE PILOTAGE

Mais il faut que je me présente : je m'appelle Bruce Ryan. A l'époque j'étais un jeune et fringuant lieutenant de l'armée américaine. Appartenant aux services secrets, j'étais chargé de l'évaluation de l'arsenal des alliés et j'avais été envoyé comme observateur à bord du HMS Victoria. Nous étions en plongée, et le commandant Lloyd était en communication radio avec la base Edwards (Falkland) où il faisait son rapport sur l'évasion baptisée : mission Polaris. Les ordres qui lui avaient été donnés étaient très clairs, conserver les deux caisses au froid, et protéger par tous les moyens l'anthropologue Bjorn Hamsun.

Lloyd était ce type d'homme qui faisait la fierté de l'armée anglaise, intègre et efficace. Son adjoint ayant été tué par le mystérieux contenu de la troisième caisse (d'ailleurs détruite pendant la mission) et mon grade étant le plus élevé après le sien, il me nomma commandant en second. De spectateur je devenais le principal acteur de cette sombre histoire.

Le pilote Driscoll, un joyeux drille, bourré d'humour, garda son côté cool pour annoncer que le radar venait de détecter un navire. Lloyd donna l'ordre de remonter de 20 pieds afin de pouvoir utiliser le périscope.
Le vaisseau était un croiseur Allemand, son sonar nous avait repéré, et ces braves gens, en guise de bienvenue nous servaient un apéritif à base de mines. Il faut dire qu'en ces temps troublés, la déclaration des droits de l'homme n'était pas le livre de chevet du gouvernement teuton.

Pour échapper à cette menace, le commandant fit plonger le sous-marin.
Une mine explosa loin derrière, la deuxième fut moins conciliante, et son souffle secoua violemment l'arrière du HMS Victoria. Inquiet pour son mystérieux chargement, Lloyd me demanda de l'accompagner pour vérifier si tout était normal. Dans le doute, Driscoll avait déclenché l'alerte rouge. Notre croisière s'annonçait mouvementée.

OBJET TROUVE: aucun.

LA CALE

Quand nous pénétrâmes dans la cale, le spectacle qui nous attendait ne respirait pas la joie de vivre. Le matelot Jones était couché sur le sol, agonisant. Avant de mourir, il nous murmura un avertissement concernant les caisses. De plus, la porte d'une des deux cellules était ouverte, et un début d'incendie s'était déclaré. Lloyd se précipita vers cette dernière pour constater l'étendu des dégâts, il était satisfait que l'explosion n'ait pas causée de voie d'eau, mais il fallait absolument éteindre le feu !

Avant qu'il n'ait pu intervenir, il fut happé par une tentacule qui l'entraîna à l'intérieur de la cellule. Je me précipitais à son secours, mais trop tard , la bestiole l'avait transformé en puzzle congolais. Je fermais précipitamment la porte, afin de laisser ce monstre immonde digérer tranquillement. Après avoir décroché l'extincteur du mur, je me transformais en soldat du feu et maîtrisait rapidement le foyer. Deux morts en cinq minutes, la grande faucheuse faisait du zèle. Il ne me restait plus qu'a annoncer la "bonne nouvelle" à Driscoll.

OBJETS TROUVE: 1 extincteur.

LE POSTE DE PILOTAGE

Quand Driscoll eut pris connaissance de l'ampleur des dégâts, sa bonne humeur légendaire s'effaça. Il devint presque agressif devant ma prise de commandement. La seule bonne nouvelle était que le bateau des malfaisants avait disparu. En inspectant le bureau de Lloyd, je récupérais dans un tiroir un magnétophone à bandes , un carnet de codes, et une clef. Mais pour le moment le plus important était d'en savoir plus sur ces monstres, et une personne pouvait m'aider, Hamsun !!! Il fallait que je me rende au dortoir, où l'anthropologue se reposait sous la protection du taciturne sergent Wayne.

OBJETS TROUVES: 1 clef, 1 magnétophone à bandes, 1 carnet de codes.
LE DORTOIR

En rentrant dans la pièce je récupérais une médaille de St Christophe sur une table de nuit. Je fis un topo de la situation au sergent en lui précisant que nous étions toujours en alerte rouge. Le pauvre Hamsun, en plein délire prononçait des mots incompréhensibles. J'envoyais Wayne aider Driscoll.

Une fois seul, je décidais d'hypnotisé l'anthropologue avec la médaille, et je mettais le magnétophone en marche au cas où il me ferait une révélation importante. L'opération réussit mais Hamsun à moitié hystérique se contenta de répéter la même phrase, une sorte d'incantation, « KAA NAAMA FTAH'N CTHULHU ». En explorant la pièce je trouvais sous une bannette, un gilet de sauvetage et des crampons à chaussures pour évoluer sur la glace. Avant de retourner au poste de pilotage, je prenais la hache fixée au mur. J'avais compris que les caisses de la cale, cachaient en fait de monstrueuses créatures : les "Prisoners of ice".

OBJETS TROUVES: 1 médaille, 1 hache, des crampons 1 gilet
de sauvetage.

LE POSTE DE PILOTAGE

Je retrouvais Wayne et Driscoll, le calme était revenu, mais ce fut de courte durée. Dans un fracas effroyable, la porte menant à la cale fut violemment projetée au milieu du poste par un Prisoner, emportant avec elle dans son voyage sans retour, le pauvre Wayne. Une idée lumineuse me traversa l'esprit, pour nous débarrasser du monstre, car j'avais beau être un admirateur de Jules Verne, je me ressentais pas de jouer les Ned Land. Je mis le magnétophone en marche, en espérant que mon plan allait fonctionner. En entendant l'incantation d'Hamsun, le Prisoner fut stoppé dans sa course meurtrière, et retourna dans sa cellule pour y mourir.

"Pendant ce temps une ombre malveillante se glissait dans la salle des torpilles, pour y poser une bombe".

Couché sur le sol, Wayne quitta ce monde, sans que nous puissions faire quelque chose pour lui, ses blessures étaient graves. Le Victoria se transformait de minute en minute en cimetière marin. Les clients se bousculaient au portillon. Nous venions avec Driscoll de prendre la décision d'envoyer un S.O.S à la base, quand une explosion secoua tout le HMS Victoria. Le radar n'indiquait aucune présence dans notre sillage, mais la table de contrôle annonçait une voie d'eau dans la salle des torpilles. Les ennuis continuaient, nous avions à l'intérieur du sous-marin, un criminel, dont le passe temps était maintenant de nous envoyer par le fond. Dorénavant, lancer un S.O.S était une question de survie.

Pour envoyer ce dernier je trouvais le code dans le carnet de Lloyd, mais il me manquait la fréquence. Driscoll ne l'avait pas non plus, mais il pensait que Stanley le mécano grincheux là connaissait. Pour que je reste en communication permanente avec lui, Driscoll pris une paire de talkie-walkie et m'en confia un.

OBJET TROUVE: 1 talkie-walkie.

LA SALLE DES MACHINES

Il y a des jours où on voudrait se dissoudre, s'isoler dans un coin, déconnecter avec la réalité. Ce sentiment m'envahissait, alors que je rentrais dans la salle des machines. Les problèmes continuaient, la dernière secousse avait fait tomber une poutrelle, et Stanley était coincé dessous. En faisant un tour d'horizon de la pièce, je découvrais un pont roulant avec un treuil. J'attachais le câble autour de la poutrelle, afin de dégager le pauvre Stanley, hélas la commande du treuil ne fonctionnait pas. Avec son talkie, Driscoll m'apprit qu'il pouvait manoeuvrer l'engin du poste de pilotage.

En suivant mes indications, Driscoll réussit rapidement à soulever la poutrelle, et je pus aider Stanley à se dégager. Celui-ci dans son malheur, eut de la chance car il n'avait pas été blessé. Après une mise au point de la situation, il me communiqua la fréquence. Avant de quitter la salle des machines je récupérais une clef à mollette qui traînait.

OBJET TROUVE: 1 clef à mollette.

LE POSTE DE PILOTAGE

Notre S.O.S fut capté par un croiseur britannique, mais un nouveau problème se posait. Les avaries causées par les diverses explosions, nous empêchaient de remonter à la surface. Je pris la décision de me servir d'un tube lance torpille pour me propulser à l'air libre, afin de pouvoir signaler notre position. Grâce à la clef à mollette je démontais le volant de la porte défoncée par le Prisoner.

OBJET TROUVE: 1 volant de porte.

LE DORTOIR

Deux nouvelles surprises m'attendaient. Hamsun avait disparu. Pour l'instant il n'était pas question de jouer les détectives. Plus grave, la porte du sas menant à la salle des torpilles était bloquée. Rien n'y faisait, j'eus beau tout essayer, il ne me restait qu'à retourner au poste de pilotage.

OBJET TROUVE: aucun.

LE POSTE DE PILOTAGE

Quand j'eus finit de narrer mes découvertes à Driscoll, il s'empressa de me désigner un boîtier électrique qui servait de commande au sas. D'un coup de hache je fit sauter le couvercle, et je reconnectais les fils, pour réactiver le système d'ouverture.

OBJET TROUVE: aucun.

LA SALLE DES TORPILLES

L'eau avait envahi le local, et elle m'arrivait à la taille. Je repérais une excavation dans le mur, j'y insérait le volant, et après l'avoir tourné, l'eau s'évacua très vite. Je trouvais une fusée de détresse, mais rien pour l'envoyer. Heureusement ma bonne mémoire, me fit souvenir que dans la cale j'avais vu un pistolet lance-fusées accroché au mur, il ne me restait plus qu'à y retourner.

OBJET TROUVE: 1 fusée de détresse.

LA CALE

Suite à mon intervention avec l'extincteur, le sol était recouvert d'une couche de glace. Le patinage artistique n'avait jamais été ma tasse de thé, et je me voyais mal me transformer en champion olympique, surtout que je ne jouais pas une médaille d'or, mais ma vie. Les crampons que je fixais sous mes chaussures, me permirent d'atteindre le mur, où était fixé le pistolet, sans me changer en luge humaine. Avec la clef j'ouvris la fixation qui tenait l'arme, et je continuais ma mission.

OBJET TROUVE: 1 pistolet lance-fusées.

SALLE DES TORPILLES

Après avoir mis mon gilet de sauvetage, j'ouvris le tube, puis la trappe du container de la torpille non armée, puis je me glissais à l'intérieur. Une fois installé, j'appelais Driscoll avec mon talkie, et lui donnait l'ordre de mise à feu. Dans ce sous-marin, je m'étais découvert une nouvelle vocation, homme de cirque, car depuis le début de cette aventure, j'avais été acrobate, dompteur, magicien, et maintenant bombe humaine, la seule chose que je n'avais pas eu l'occasion de faire, c'était le CLOWN!!!

OBJET TROUVE: aucun

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