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Test Nexus : The Jupiter Incident (PC) : 0/10 sur JeuxVideo.fr



Sortie le 05 Novembre 2004 , PC
Publiée le 29/03/2005 à 00:03, par Patrick

Test de Nexus : The Jupiter Incident

Nexus The Jupiter incident, initialement nommé Imperium Galactica 3 est, vous l’aurez deviné, la suite d’Imperium Galactica 1 et 2. Les deux épisodes précédents, bien que n’étant pas des hits intersidéraux, bénéficiaient du certain succès d’estime, ce qui n‘est pas trop difficile pour un jeu de stratégie spatiale un tant soi peu bien réalisé, tellement ce genre est peu représenté sur nos machines. Alors pourquoi avoir renommé ce jeu ?
Tout simplement parce que les programmeurs ont eu la bonne idée de revoir totalement leur copie. Là où il fallait, auparavant, jongler entre la gestion de colonies, de conflits spatiaux, faire de la diplomatie, du commerce et tout cela simultanément, avec uniquement deux mains de cinq doigts et deux yeux, Nexus se concentre sur l’essentiel, la simulation de combat spatial.
Du coup plus, l’ergonomie du jeu s’en trouve totalement changée, plus de construction de bâtiments ou de vaisseau, ni même, de gestion de ressources.



Dans Nexus, vous incarnez le capitaine Marcus CROMWELL, qui, une fois n’est pas coutume dans un jeu vidéo, est loin d’être un illustre inconnu, car ce n’est rien de moins que le fils de Richard CROMWELL, le premier homme à être né dans l’espace, signataire du traité de la terre, a la fin de la guerre des I.A et mystérieusement disparu au cour du premier essai de la traversée d’un vortex.
L’histoire se déroule au début du 22ème siècle, dans ce futur relativement proche, les humains ne sont dans l’espace que depuis un demi siècle, le pouvoir est entre les mains des mégas compagnies, auxquelles appartiennent toutes les colonies du système solaire. L’homme ne s’est donc pas encore élancé hors du système solaire, il a essayé, mais le tragique accident de l’arche de Noé, le vaisseau de Richard CROMWELL l’a passablement refroidit dans sa quête de conquête aux étoile.
C’est donc dans l’espace environnant notre bonne vieille terre que se déroule le début du jeu.
Vétéran et rescapé miraculeux de la guerre qui à opposé le pouvoir centrale terrien aux colonies qui réclamaient leur indépendance, Marcus est recruté par une des megas corporation et se voit confié le commandement de la frégate Stiletto, lors d’une mission de routine dans les environs de Jupiter, il arraisonne un cargo, propriété d’une compagnie concurrente qui contient une bien étrange cargaison.
C’est le point de départ de votre périple, qui vous entraînera aux confins de la galaxie, et vous fera rencontrer 6 races d’aliens, aussi puissants que redoutables.


Dans Nexus, donc, contrairement a Homeworld, on ne gère ni ses ressources, ni ses unités, ces dernières sont automatiquement attribuées pour chaque missions et un vaisseau perdu au combat, ne sera pas remplaçable.
Le principe peut sembler frustrant, mais cela ne signifie en aucun cas qu’il n’y a pas gestion, bien au contraire, on fait du micro management d’unité et le principe se révèle étonnement riche.
Après le briefing de chaque mission, on accède a un écran de flotte qui résume la liste des vaisseaux attribués pour la mission. Chaque vaisseau contient plusieurs « slots » qui correspondent chacun à différents systèmes du vaisseau. Armement, bouclier, moteurs, énergie … tout est paramétrable. Bien sur il est possible de laissé le système gérer automatiquement l’équipement, ce qui permet de gagner un temps assez considérable, mais l’on passe alors à coté d’un des éléments les plus important du jeu.
L’équipement disponible pour équiper les vaisseaux évolue au fur et à mesure de l’avancement dans le jeu et rapidement la vieille casserole sidérale des débuts devient un puissant croiseur de combat aux multiples talents.

Les préparatifs terminés, vous pouvez allègrement commencer votre mission et la nouvelle surprise, l’écran de jeu est clair, l’interface relativement simple et bien pensée.
Les boutons de commandes sont tous accessible depuis l’écran principal, nul besoin d’aller crapahuter dans d’innombrables menus et sous-menus pour commander un steak tartare, un simple clic et hop, il est servi.
Autre détail astucieux, il est inutile de chercher un vaisseau, partout, pendant de longues secondes, en se maudissant de ne pas l’avoir marqué ou de l’avoir envoyer se cacher derrière un astéroïde, deux listes déroulantes contenant les représentations graphiques des vaisseaux présents se situent à droite de l’écran pour les adversaires et a gauche pour les vaisseaux sous vos ordres.
La trentaine de missions offre une belle variété, vous retrouverez les habituelles reconnaissances, escortes, sièges, défense de zone et autres libérations d’otages.
Par contre la grande force du jeu réside dans la façon dont ces missions sont articulées autour de l’excellent scénario. Les premières missions ne sont pas uniquement dédiées à vous mettre dans l’ambiance, elles font également office de tutorial, les actions y sont volontairement limitées, cela permet de s’attribuer progressivement les commandes de jeu et le moins que l’on puisse dire, c’est que le système est diablement efficace, il est totalement inutile de se plonger pendant des heures dans la notice, 3 missions ; quelques dizaines de minutes et vous aurez maîtrisé les bases de Jupiter incident.


Un système de jeu riche et novateur, un scénario étonnant et accrocheur, il aurait été dommage de torpiller cela avec une réalisation moyenne.
Et bien là encore, c’est une totale réussite, les graphismes sont tout bonnement sublimes, les vaisseaux sont superbement détaillés et les designers du jeu sont visiblement des fans de la série télé Babylon 5, on retrouve en effet des vaisseaux humains relativement réalistes, avec des gros réacteurs et des petits boosters sur toute la coque pour changer de direction et des vaisseaux aliens au look ravageur qui vont du gigantesque destroyer type star wars aux vaisseaux semi organiques que l on retrouve dans la série sus citée. Les environnements ne sont pas en reste, riches et haut en couleurs, bourrés d’effets spéciaux tel que le lens flar sont légion et le jeu reste fluide, tout détails au maximum en 1280 X 1024 même sur une configuration moyenne équipée d’un processeur 2,5 gHz et d’une Radeon 9700 pro, à condition de faire l’impasse sur l’anti aliasing. Avec une configuration plus puissante, processeur 3 gHz et geforce 6800 gt ou équivalent il est possible de jouer en 1600 X 1200, AA 4x, AF 16x.
Il est bien évidemment possible de jouer en multi-joueurs, les parties sont amusantes mais le nombre de maps bien trop réduit, mais ce n’est pas cela qui doit freiner votre achat puisque ce jeu représente un très bon investissement qui occupera un grand nombre de vos nuits.

Les avis des internautes

Note moyenne des internautes : 8.0
1 BONNE RAISON D'Y JOUER
L'avis de : Panzer18
Très bon
Un des meilleur jeux de stratégie queston guerre spatial. Très facile à prendre en main, c'est un jeux où l'on en apprend à chaque mission. Le niveau technologique des vaisseaux est de plus en plus évolué à chaque mission. Bref meilleur que la série des X
1 BONNE RAISON D'Y JOUER
L'avis de : darth pedro
Très bon
Ce jeu est super!!! De magnifiques graphismes, un sénario bien construit!!!Un jeu à recommander pour les fans de jeu de stratégie.
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