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Test S.T.A.L.K.E.R. : Shadow Of Chernobyl (PC) : 8/10 sur JeuxVideo.fr



Sortie le 23 Mars 2007 , PC

Les +

  • Immersion remarquable
  • Combats int�ressants, IA efficace
  • Dur�e de vie int�ressante, plusieurs fins
  • Missions vari�es, pas trop de scripts

Les -

  • Quelques bugs, probl�mes de finition
  • On en veut toujours plus !
La note de jeuxvideo.fr
8.0
tres bon
La note des internautes
9.0

(107 votes)
Publi�e le 19/03/2007 � 09:03, par Nerces

STALKER : l'ombre de Tchernobyl plane sur le PC

Un suspens de plusieurs ann�es prend fin cette semaine avec la sortie de STALKER, l'un des jeux d'action les plus attendus sur PC. Alors triomphe ou cagade ?

S.T.A.L.K.E.R. : Shadow Of Chernobyl
Davantage connu en France pour ses jeux de strat�gie temps r�el que pour ses fps, GSC Game World est parvenu � tous nous faire saliver en d�voilant STALKER, ses grands espaces et sa libert� d'action. H�las, avec le temps et les multiples retards, de nombreux joueurs ont commenc� � se d�sint�resser du projet, voire m�me � douter de sa possible sortie. Aujourd'hui, plus de cinq ans apr�s les premi�res annonces, le projet est sur le point d'�tre commercialis� par tous les revendeurs de France et de Navarre. Le partenariat avec THQ et l'exp�rience de l'�diteur am�ricain ont �videmment acc�l�r� les choses ces derniers mois, mais maintenant, la v�ritable question est de savoir si l'ombre de STALKER va planer sur le genre du FPS ?

STALKER du r�acteur qu'on reconna�t la centrale...


�videmment li� � la catastrophe du 26 avril 1986, STALKER repose tr�s largement sur les r�gions ukrainiennes bordant la tristement c�l�bre centrale L�nine, plus connue sous le nom de Tchernobyl. Si le contexte intrigue, le sc�nario ne d�bute cependant pas sous les meilleurs auspices et � d�faut d'�tre originale, disons que la s�quence d'introduction est techniquement bien fichue : nous y d�couvrons notre futur meilleur ami, un STALKER retrouv� � proximit� d'une carcasse de camion au beau milieu de � la Zone �. Soign� par un marchand du nom de Sidorovich, ce dernier est rapidement sur pied, mais il ne se souvient ni de son nom, ni de son m�tier, ni m�me de ce qu'il fait dans cette r�gion on ne peut plus inhospitali�re. Les seules informations dont il dispose se r�sument en fait � un tatouage 'STALKER' sur son bras et � un laconique ordre de mission sur son PDA... Tuer Strelok.

S.T.A.L.K.E.R. : Shadow Of Chernobyl
S.T.A.L.K.E.R. : Shadow Of Chernobyl
S.T.A.L.K.E.R. : Shadow Of Chernobyl

En d�but de partie, il faut d�j� se familiariser avec les lieux, l'architecture sovi�tique et l'interface du PDA

C'est ainsi et apr�s la s�lection de la difficult� (quatre niveaux) que le jeu d�bute. Sidorovich se propose de nous expliquer les bases : une fa�on comme une autre pour GSC d'int�grer le didacticiel. Les commandes ne sont de toute fa�on pas bien compliqu�es et largement param�trables. On apprend donc � manipuler l'interface (pas terrible) du PDA, � g�rer notre inventaire et � se d�placer / agir dans � la Zone �. Si vous commencez tout juste � vous int�resser au titre, sachez que cette � Zone � est notre � terrain de jeu � : une r�gion d'environ 30 kilom�tres carr�s autour de la centrale de Tchernobyl. STALKER se d�roule en 2012 alors que six ans seulement se sont �coul�s depuis la seconde explosion de la centrale : la � Zone � est devenue encore plus �trange et l'arm�e commence tout juste � la rendre de nouveau accessible.

S.T.A.L.K.E.R. : Shadow Of Chernobyl
Du coup, de nombreuses factions plus ou moins recommandables s'y int�ressent. Il faut savoir que la seconde explosion de la centrale a cr�� ce que l'on nomme des � anomalies � et ces derni�res, dangereuses pour l'homme, g�n�rent de temps � autres des artefacts aux propri�t�s �tonnantes. Artefacts que l'on peut �videmment revendre tr�s cher ! D'autres personnes s'int�ressent � la � Zone � du fait du v�ritable laboratoire �cologique qu'elle constitue. Enfin, diverses factions se retrouvent ici par simple curiosit� ou par � envie de bien faire � : histoire d'�viter que les horreurs de la � Zone � ne se r�pandent dans le reste du monde... Voil� grosso-modo et de mani�re tr�s sch�matique le type de personnes que le joueur est amen� � croiser tout au long de son p�riple tchernobylien... En plus des militaires bien s�r !

Ce p�riple, nous l'avons dit, d�bute alors que Sidorovich vient de sauver la vie de notre h�ros. Mieux, le bonhomme pense avoir quelques informations sur le Strelok de notre PDA. �videmment, le bougre compte sur notre aide en �change de ses loyaux services et c'est ainsi que la premi�re mission du joueur arrive. Tr�s simple, celle-ci nous permet de faire connaissance avec d'autres Stalkers solitaires. Il s'agit de sympathiques gars encore tr�s inexp�riment�s, mais qui comptent sur notre bravoure pour tenter de lib�rer un certain Allegro. � partir de cette premi�re mission, le gameplay est tr�s ouvert. Moins riche que des jeux de r�le comme Oblivion ou Gothic 3, STALKER nous laisse tout de m�me tr�s libre de nos actions avec, comme souvent, un sc�nario principal relativement script� qui fait office de fil conducteur.

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Quelques dialogues de la qu�te principale sont (assez bien) doubl�s : pour le reste, il faut lire... ce n'est heureusement pas g�nant


� STALKER vaillant rien d'impossible !


Le sc�nario principal nous permet effectivement de d�couvrir une � une les factions en pr�sence et nous conduit, au fil des missions, � visiter l'int�gralit� de la � Zone �. Cela dit, il est tout � fait possible de suivre son propre chemin. Chaque membre influent d'une faction dispose d'informations int�ressantes et aura le plus souvent quelques qu�tes � donner. Petit regret cependant, ces qu�tes ne sont gu�re passionnantes dans le sens o� elles n'influent jamais sur le monde qui nous entoure : l'objectif est ici de r�cup�rer tel objet, l� de tuer telle personne, mais c'est tout, il n'y a jamais de suite. Au contraire, le sc�nario principal propose �videmment une qu�te de longue haleine qui, ind�pendamment des missions annexes et selon le niveau de difficult� choisi, devrait au moins vous occuper quinze � vingt heures.

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Ensuite, il faut savoir que l'on peut presque doubler ce nombre pourvu que l'on se ballade un peu ou que l'on prenne son temps, mais, plus int�ressant encore, que cette vingtaine d'heures de jeu ne tient compte que d'une seule fin... Les d�veloppeurs en ont pr�vu sept ! Ces fins n'obligent heureusement pas � recommencer l'int�gralit� du jeu (enfin pour les quatre que nous avons eu l'occasion de voir), mais demandent tout de m�me de revenir quelques heures de jeu en arri�re... Pensez-donc � conserver vos sauvegardes. Ce syst�me de fins multiples renforce bien s�r l'ouverture du monde de STALKER qui ressemble sur certains aspects beaucoup plus � un jeu de r�le qu'� un classique FPS. Attention cependant, l'aspect gestion du personnage est largement simplifi� et il n'est pas question d'accumuler de l'exp�rience pour faire �voluer de quelconques caract�ristiques.

Il faut cependant faire attention � la quantit� d'�quipement trimball� avec soit : au-del� de 50 Kg on est ralenti et on se fatigue plus vite, au-del� de 60, on ne peut plus bouger. Il faut �galement veiller � maintenir sa vie � un niveau correct et, plus important, � ne pas laisser monter la jauge d'irradiation. Pour la faire redescendre, de petites seringues sont disponibles, mais quand celles-ci viennent � manquer on peut se rabattre sur la vodka... Attention toutefois � ne pas en abuser : on a vite fait de rouler sous la table ! Autre �l�ment pris en compte : la faim et m�me s'il n'existe pas de jauge visible du joueur, il faut manger de temps � autres. Enfin, et il s'agit sans doute de l'�l�ment le plus jeu de r�le de STALKER, notre h�ros peut s'emparer des pr�cieux artefacts dont nous parlions en d�but d'article.

S.T.A.L.K.E.R. : Shadow Of Chernobyl
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Armes � gogo, munitions en pagaille et artefacts par dizaines : une seule limite, le poids de tout ce beau monde

Ces petits objets d'environ 500 grammes se placent � m�me la peau au niveau de la ceinture et il est possible d'en choisir un maximum de cinq � la fois. Sachant que les caract�ristiques de ces artefacts varient consid�rablement, il faudra donc faire son choix en fonction de son style de jeu, mais aussi et surtout des besoins du moment. Ainsi, certains artefacts vont augmenter la r�g�n�ration de vie, mais au prix d'une plus grande sensibilit� aux griffures par exemple. D'autres, augmentent les r�sistances � toutes les attaques corporelles, mais sont extr�mement radioactifs ! GSC Game World a ici fait preuve d'une certaine ouverture d'esprit en laissant le joueur ma�tre de son destin et cette ouverture d'esprit se retrouve d'ailleurs � d'autres niveaux du jeu, par exemple dans la r�solution des missions.

Du STALKER � l'ouvrage ?


S.T.A.L.K.E.R. : Shadow Of Chernobyl
Ce n'est pas syst�matiquement le cas, mais GSC Game World laisse g�n�ralement le choix d'aborder un probl�me de plusieurs mani�res. Ainsi les assauts de bases adverses permettent d'attaquer de front, de tenter un contournement, d'envoyer des grenades pour faire sortir les rats de leur trou ou bien m�me parfois de passer par les toits / souterrains histoire de prendre les vilains pas beaux au d�pourvu. La m�thode � Lindt � (NDA : mais si, vous savez bien les quelques grammes de finesse) peut �galement s'appliquer en pleine obscurit� puisque le jeu g�re assez bien les cycles jour / nuit : certaines cr�atures n'auront aucun probl�me � nous apercevoir une fois le soleil couch�, mais la plupart des humains seront moins � l'aise... Cela dit, il ne faudrait pas laisser notre lampe torche trahir notre position !

L'intelligence artificielle n'est sans doute pas exempte de critique, mais les ennemis ne sont dans l'ensemble pas trop cr�tins. Ils tentent de nous prendre � revers, partent se planquer quand leur puissance de feu est clairement d�pass�e et n'h�sitent pas au contraire � nous d�busquer lorsqu'on joue un peu trop les taupes. Quelques bugs surviennent �a et l�, comme ce garde qui ne me voit pas du tout venir ou qui � oublie � ma pr�sence alors qu'il n'est plus qu'� deux m�tres de moi, mais dans l'ensemble c'est du tout bon et largement suffisant pour quelques moments de stress � pas piqu�s des vers �. Afin de profiter au mieux de ces pouss�es d'adr�naline, il est important de pr�ciser que 1/ les ennemis visent vite et bien, que 2/ ils sont en g�n�ral plut�t teigneux et n'aiment pas trop qu'on d�gomme leurs copains.

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� T'as pas une gueule de porte bonheur ! � (� notre ami en capture au centre)

Reste que de nombreux outils permettent heureusement d'en venir � bout. Tout d'abord et pour compl�ter notre paragraphe sur les approches possibles, il est important de pr�ciser que notre Stalker peut piquer de petits sprints pour aller se soigner et mettre � profit deux niveaux d'accroupissement afin de se planquer ou d'avancer plus silencieusement. On regrettera ici le manque de soin apport� au tir de pr�cision (impossible de se coucher, aucune gestion des mouvements de l'arme...), mais � pour compenser �, deux indicateurs sont pr�sents afin de symboliser le bruit fait par notre h�ros ou sa visibilit�. Si l'approche infiltration ne sera sans doute pas exploit�e par de nombreux joueurs, ces outils contribuent � varier encore les techniques possibles... A ce sujet, n'oublions pas la pr�sence de jumelles, compagnons indispensables de l'agent infiltr� en terrain hostile.

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Ces jumelles constituent la partie � pacifiste � de l'�quipement � disposition du joueur qui, FPS oblige, peut compter sur un arsenal � faire p�lir d'envie Hannibal Smith et id�al pour qu'un plan se d�roule sans accroc. En d�but de partie, il faut se contenter de � p�toires � assez lamentables et d'une esp�ce de veste de cuir � peine capable d'arr�ter un cure-dent. Heureusement, les choses deviennent rapidement plus s�rieuses et se succ�dent des fusils, des automatiques, des armes d'assaut et des engins capables de faire des trous que la morale m'interdit de d�crire plus avant. Plusieurs types de munitions sont disponibles pour chacune des ces armes et, mieux encore, certaines d'entre elles peuvent b�n�ficier d'accessoires / am�liorations afin d'en augmenter la pr�cision (lunette de vis�e) ou la cadence de tir.

Qui conna�t STALKER, se d�fie de ses yeux


Pr�cisons que du c�t� des protections aussi, cela s'am�liore tr�s vite et plus tard dans la partie il faut m�me jongler entre de grosses armures capables de bien arr�ter les balles ennemies ou des combinaisons plus � leur aise face aux radiations. Enfin, pour �tre parfaitement complets, il nous faut parler des diff�rents types de grenades et des multiples kits de soin alors que les armes blanches sont le parent pauvre de cet interminable arsenal : seul le couteau du d�but de partie nous permet de d�couper des steaks de zombies. Ce d�faut est vite rejoint par un autre qui n'est heureusement gu�re g�nant une fois que l'on commence � bien conna�tre la g�ographique de la zone : l'absence de v�hicule. On rencontre r�guli�rement des jeeps, des camions, des blind�s et m�me quelques chars d'assaut, mais aucun de ces joujoux n'est exploitable.

S.T.A.L.K.E.R. : Shadow Of Chernobyl
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Paysages splendides, mise en couleurs remarquable et utilisation intelligente des effets graphiques modernes : STALKER est un beau jeu !

Les plus critiques d'entre-nous regretteront �galement une ergonomie parfois discutable du journal de mission ou du PDA dans son ensemble et il faut bien avouer que la r�alisation technique n'est pas toujours au diapason. STALKER tourne globalement mieux sur NVIDIA que sur ATI, mais dans un cas comme dans l'autre, il faudra voir assez gros (GeForce 7800GT / Radeon X1800XT) pour profiter au mieux de l'excellence graphique du jeu de GSC. Il faut dire que contrairement � ce que l'on pouvait craindre du fait des temps de d�veloppement � rallonge, STALKER est tr�s beau. Mieux, sa r�alisation graphique permet de compl�tement rentrer dans la � Zone �. Les jeux de couleurs et de lumi�res sont r�ussis comme rarement et m�me si certaines animations ou certaines cr�atures auraient m�rit� meilleure finition, l'ensemble est remarquable.

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Le niveau de qualit� de certaines textures et l'excellente utilisation de ce que l'on appelle le bump mapping donnent un c�t� incroyablement r�aliste � ces lieux et permettent de compl�tement rentrer dans l'aventure alors m�me que le sc�nario est simplement dans la moyenne. Les graphistes de GSC ont pass� de longues heures � mod�liser au mieux les r�gions qui environnent la centrale de Tchernobyl (la For�t Rouge, Prypiat...) et le r�sultat est � la hauteur de leurs ambitions : le m�lange entre zones franchement post-apocalyptiques et paysages plus verdoyants est sans doute l'un des plus remarquables que l'on ait pu voir de m�moire de joueur. Du coup, la bande-son para�t beaucoup plus quelconque et les bruitages des diff�rentes armes � feu sont heureusement rattrap�s par les cris / ordres des personnages non joueurs.

Nous ne parlerons pour ainsi dire pas de la musique qui est extr�mement discr�te et ne sert qu'� souligner (fort habilement) l'action, mais il nous faut en revanche nous arr�ter quelques instants sur le mode multijoueur du jeu. Le jeu ne sortant que le 23 mars, il est �videmment trop t�t pour parler communaut�, mais STALKER a toutes les cartes en main pour ravir les amateurs. Les modes de jeu sont relativement classiques, mais l'ambiance que l'on appr�cie tellement en solo se retrouve parfaitement durant les parties r�seau. Un peu lents, les mouvements des personnages ne risquent pas d'en faire le nouvel Unreal Tournament, mais ses modes de jeu (deathmacth, team deathmatch et qu�te de l'artefact), son approche plus � r�aliste � et son environnement contemporain pourraient int�resser les joueurs de Counter-Strike notamment.

Press Start #1 - Entr�e dans la Zone

Les quinze premi�res minutes d'une partie, histoire de prendre le pouls


Vid�o exclu #3 - Splendeur et d�cadence de la Zone

Certaines zones sp�ciales sont � ici l'honneur


Vid�o exclu #4 - Combats � gogo !

Enfin, divers combats composent notre troisi�me s�quence


Conclusion


Sorti en temps et en heure, STALKER aurait tr�s certainement marqu� le genre du FPS de mani�re ind�l�bile, mais si les quelques ann�es de retard sur le planning le privent de ce statut � r�volutionnaire �, elles ne l'emp�chent pas d'�tre un grand FPS. Riche, passionnant, bien con�u et dot� d'une dur�e de vie largement sup�rieure � ce que les derniers jeux d'action PC nous ont habitu�, STALKER est incontestablement une r�ussite. Certains joueurs regretteront �videmment les �l�ments que GSC a �t� oblig� de laisser de c�t�, d'autres critiqueront les saccades et l�gers bugs que l'on rencontre parfois, mais il s'agit en d�finitive de d�fauts mineurs qui n'entachent pour ainsi dire pas l'exp�rience offerte par les Ukrainiens. L� o� d'autres auraient sans doute sorti plus rapidement un jeu moins int�ressant, GSC / THQ ont pris le temps qu'il fallait... � vous de ne pas passer � c�t� !



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Les avis des internautes

Note moyenne des internautes : 9.0
1 BONNE RAISON D'Y JOUER
L'avis de : Syajitsuteki
Tr�s bon
Nouveau genre Stalker n'est pas � voir comme un jeu de tir � la premi�re personne comme un CS ou un Far Cry (pour ne citer qu'eux). C'est le m�lange entre FPS et RPG. En fait, on pourrait presque dire que STALKER est une sorte d'Oblivion futuriste. Niveau graphique: Tr�s convenable, avec une coh�rence assez frappante, voir carr�ment d�rangeante. Les �quipes de d�veloppement suite ...
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