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Test de System Shock 2
S’il y a des jeux qui ont marqué leur époque, par une approche novatrice ou l’exécution quasi-parfaite d’un genre connu, System Shock fait partie de ceux-là. Dans le premier volet de la série, développé par Looking Glass, vous luttiez contre une entité informatique désireuse de mettre un terme au règne des hommes dans une ambiance à mi-chemin entre Tron et Blade Runner. Pour cette suite très attendue, Irrational Games a préféré suivre le modèle du huis clos spatial rendu populaire par la série Alien à l’écran…
System Shock 2 se présente comme un first person shooter, à savoir que vous verrez par les yeux de votre personnage dans un univers en 3D où il vous sera loisible d’effectuer toute une série d’actions telles que marcher, sauter, vous accroupir, frapper et tirer. Mais ne commettez pas l’erreur de confondre SS2 avec un vulgaire jeu de tir. Car ce à quoi vous allez jouer est un jeu de rôle de la meilleure trempe. Présentations.
En tant que soldat travaillant pour le compte de TriOptimum Corp, vous suivez une formation intensive dans des simulateurs perfectionnés avant de vous retrouver embarqué dans un caisson cryogénique à bord d’un vaisseau lancé dans le premier grand voyage d’exploration de l’espace inconnu. Bien entendu, vous vous en doutiez, les choses vont mal tourner et vous voilà bientôt libéré, groggy et amnésique, de votre douillet sommeil artificiel. Cela pour vous rendre compte que le vaisseau est désormais le théâtre d’événements glauques à souhait.
A travers les coursives sombres et mal fréquentées du vaisseau, dirigé par une mystérieuse alliée qui communique avec vous via un système radio, vous allez devoir déjouer les pièges des nouveaux maîtres du bord et accomplir différentes tâches dont la principale sera sans doute de rester en vie. Vous découvrirez au fur et à mesure de votre progression, les éléments du scénario à travers des carnets de notes abandonnés, des disques de donnée et des déductions personnelles.
Puisque SS2 est un jeu de rôle, vous allez pouvoir faire progresser votre personnage, développer son profil en lui apprenant de nouvelles compétences, qu’elles soient techniques, usuelles, martiales ou psychiques. Et puisque SS2 est un jeu de rôle, vous devrez éviter de laisser parler vos vieux réflexes de mitrailleur à la Doom. Vos cartouches sont comptées, votre bras ne frappera pas aussi vite que voulu avec la clé à molette, et quelques coups vicieux viendront à bout de votre bonne volonté…
Malgré son âge vénérable, System Shock 2 reste très agréable à jouer avec une interface basée sur la gestion de l’ambiance : si vous fouillez un corps, par exemple, vous ouvrez en surimpression de l’écran une fenêtre d’inventaire, vous exposant ainsi aux coups des adversaires. Apprenez donc à vous assurer que vous êtes seuls avant de vous remplir les poches. Votre inventaire sera d’ailleurs limité, vous forçant à ne pas trop vous encombrer. Ce ne sera pas là le seul casse-tête du jeu.
Graphiquement correct, SS2 donnera du fil à retordre aux joueurs expérimentés mais semblera dès lors un peu difficile aux novices. Prévoyez des sauvegardes fréquentes car vous n’êtes pas un surhomme et que l’aventure qui vous attend ne sera pas de tout repos. Seul petit bémol : l’utilisation des carnets de note pour distiller les informations vous prive du contact avec d’éventuels PNJ… En gros, si quelque chose bouge, ça vous en veut ! Frappez le premier.
System Shock 2 se présente comme un first person shooter, à savoir que vous verrez par les yeux de votre personnage dans un univers en 3D où il vous sera loisible d’effectuer toute une série d’actions telles que marcher, sauter, vous accroupir, frapper et tirer. Mais ne commettez pas l’erreur de confondre SS2 avec un vulgaire jeu de tir. Car ce à quoi vous allez jouer est un jeu de rôle de la meilleure trempe. Présentations.
En tant que soldat travaillant pour le compte de TriOptimum Corp, vous suivez une formation intensive dans des simulateurs perfectionnés avant de vous retrouver embarqué dans un caisson cryogénique à bord d’un vaisseau lancé dans le premier grand voyage d’exploration de l’espace inconnu. Bien entendu, vous vous en doutiez, les choses vont mal tourner et vous voilà bientôt libéré, groggy et amnésique, de votre douillet sommeil artificiel. Cela pour vous rendre compte que le vaisseau est désormais le théâtre d’événements glauques à souhait.
A travers les coursives sombres et mal fréquentées du vaisseau, dirigé par une mystérieuse alliée qui communique avec vous via un système radio, vous allez devoir déjouer les pièges des nouveaux maîtres du bord et accomplir différentes tâches dont la principale sera sans doute de rester en vie. Vous découvrirez au fur et à mesure de votre progression, les éléments du scénario à travers des carnets de notes abandonnés, des disques de donnée et des déductions personnelles.
Puisque SS2 est un jeu de rôle, vous allez pouvoir faire progresser votre personnage, développer son profil en lui apprenant de nouvelles compétences, qu’elles soient techniques, usuelles, martiales ou psychiques. Et puisque SS2 est un jeu de rôle, vous devrez éviter de laisser parler vos vieux réflexes de mitrailleur à la Doom. Vos cartouches sont comptées, votre bras ne frappera pas aussi vite que voulu avec la clé à molette, et quelques coups vicieux viendront à bout de votre bonne volonté…
Malgré son âge vénérable, System Shock 2 reste très agréable à jouer avec une interface basée sur la gestion de l’ambiance : si vous fouillez un corps, par exemple, vous ouvrez en surimpression de l’écran une fenêtre d’inventaire, vous exposant ainsi aux coups des adversaires. Apprenez donc à vous assurer que vous êtes seuls avant de vous remplir les poches. Votre inventaire sera d’ailleurs limité, vous forçant à ne pas trop vous encombrer. Ce ne sera pas là le seul casse-tête du jeu.
Graphiquement correct, SS2 donnera du fil à retordre aux joueurs expérimentés mais semblera dès lors un peu difficile aux novices. Prévoyez des sauvegardes fréquentes car vous n’êtes pas un surhomme et que l’aventure qui vous attend ne sera pas de tout repos. Seul petit bémol : l’utilisation des carnets de note pour distiller les informations vous prive du contact avec d’éventuels PNJ… En gros, si quelque chose bouge, ça vous en veut ! Frappez le premier.
