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Test de No Man's Land
Le dernier jeu de stratégie en temps réel de Related Design vous propose de parcourir trois cent ans d’histoire américaine, avec comme point de départ la conquête des Amériques. A la tête d’une civilisation, vous combattrez pour la liberté ou pour asservir d’autre peuples.
Espagnols fraîchement débarqués sur une terre inconnue et chargés de la coloniser, Indiens luttant pour leur survie contre des bouchers de colons, des forces britanniques d’occupation à bouter hors du pays : voilà votre quotidien, qui reprend des faits marquants de l’histoire du continent américain.
Juste après avoir foulé du pied les Amériques, les redoutables tribus indiennes vous causent déjà des problèmes. Et ce n’est que le début de l’aventure des trois campagnes qui vous attendent. Comme à l’accoutumée, de la situation de votre campement dépend la survie de votre colonie. D’ailleurs, seul un approvisionnement ininterrompu en ressources (or, bois et nourriture) permettra de prendre le dessus sur un adversaire sournois. Et il faut agir vite, car l’ennemi rôde et se développe à grand pas. Un ennemi intelligent, pour une fois, mais qui, hélas, manque un peu d’imagination, car trop prévisible. Heureusement, le mode multijoueur en réseau LAN ou Internet prolongera le plaisir des joueurs plus prompts à se mesurer à des adversaires imprévisibles.
Lors des batailles, la stratégie prend tout de suite le dessus. Même si vous êtes un boucher sanguinaire, la victoire requiert un brin de réflexion. D’ailleurs, quatre formations différentes viennent implémenter les déplacements de certaines troupes : en ligne, en tortue, en colonne ou en V, à vous de choisir. Voyez plutôt les tributs indiennes qui attaquent à la sauces yankee ! Sachez qu’une simple unité peut engranger de précieux points d’expérience suite à sa participation aux combats et augmenter ainsi points de vie, champ de vision, vitesse…
Vous pouvez également disposer d’unités d’élite dotées de pouvoirs très spéciaux (régénération, sorts). A découvrir.
Chaque environnement est truffé de détails destinés à accentuer le réalisme : ombres, limpidité de l’eau, animations … et le moteur 3D ne faiblit pas une seconde.
Au final, No Man’s Land réussit fort bien à impliquer le joueur, mais manque quand même un peu de punch.
Espagnols fraîchement débarqués sur une terre inconnue et chargés de la coloniser, Indiens luttant pour leur survie contre des bouchers de colons, des forces britanniques d’occupation à bouter hors du pays : voilà votre quotidien, qui reprend des faits marquants de l’histoire du continent américain.
Juste après avoir foulé du pied les Amériques, les redoutables tribus indiennes vous causent déjà des problèmes. Et ce n’est que le début de l’aventure des trois campagnes qui vous attendent. Comme à l’accoutumée, de la situation de votre campement dépend la survie de votre colonie. D’ailleurs, seul un approvisionnement ininterrompu en ressources (or, bois et nourriture) permettra de prendre le dessus sur un adversaire sournois. Et il faut agir vite, car l’ennemi rôde et se développe à grand pas. Un ennemi intelligent, pour une fois, mais qui, hélas, manque un peu d’imagination, car trop prévisible. Heureusement, le mode multijoueur en réseau LAN ou Internet prolongera le plaisir des joueurs plus prompts à se mesurer à des adversaires imprévisibles.
Lors des batailles, la stratégie prend tout de suite le dessus. Même si vous êtes un boucher sanguinaire, la victoire requiert un brin de réflexion. D’ailleurs, quatre formations différentes viennent implémenter les déplacements de certaines troupes : en ligne, en tortue, en colonne ou en V, à vous de choisir. Voyez plutôt les tributs indiennes qui attaquent à la sauces yankee ! Sachez qu’une simple unité peut engranger de précieux points d’expérience suite à sa participation aux combats et augmenter ainsi points de vie, champ de vision, vitesse…
Vous pouvez également disposer d’unités d’élite dotées de pouvoirs très spéciaux (régénération, sorts). A découvrir.
Chaque environnement est truffé de détails destinés à accentuer le réalisme : ombres, limpidité de l’eau, animations … et le moteur 3D ne faiblit pas une seconde.
Au final, No Man’s Land réussit fort bien à impliquer le joueur, mais manque quand même un peu de punch.
