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Test de Lock On : Modern Air Combat
Mettons tout de suite les choses au point : LOMAC n’est pas un jeu d’arcade. C’est une simulation en bonne et due forme, avec tous les aspects que cela peut comporter en matière de paramétrage et de complexité.
En effet, avant de vous lancer dans LOMAC, je ne saurais que trop vous conseiller de vous plonger dans le manuel et de vous préparer psychologiquement à aborder un soft qui ne vous épargnera rien et ne vous facilitera jamais la tâche.
Quand on parle de simulation aérienne, nous pensons tous à la référence absolue, en l’occurrence le denier Flight Simulator en date. LOMAC n’en est pas si éloigné, à ceci près qu’il vous est proposé de mener à bien des missions successives au sein d’une campagne dynamique, dont le scénario n’a que peu d’importance. Je dis « peu d’importance » parce qu’une fois lancée une mission, vous aurez bien autre chose à faire que de vous préoccuper du pourquoi du comment vous vous êtes retrouvé embarqué dans l’histoire.
Car piloter un SU-27, un MIG-29, un Falcon-16, un A10 Thunderbolt et encore bien d’autres appareils, tous aussi superbement modélisés les uns que les autres, vous demandera toute votre attention et toute votre dextérité. Je le répète, lisez le manuel. Faute de quoi vous ne serez même pas capables de décoller. Vous voilà prévenus.
Les graphismes de LOMAC sont superbes. Le cockpit de chaque appareil est un véritable bonheur de précision, ce qui peut faire peur lorsqu’on commence à réaliser que chaque bouton ou cadran présent à l’écran a une fonction réelle, et que vous allez devoir apprendre à vous en servir. Mais d’un point de vue purement graphique, donc, c’est le top. Les environnements dans lesquels vous allez évoluer sont eux aussi splendides, les bâtiments se détachant un à un sur le sol, séparés par des routes sur lesquelles vous pourrez observer, en rase-mottes, une circulation automobile.
Malheureusement, cette richesse graphique a un prix, et il est très élevé. Ainsi, pour profiter de la beauté de LOMAC au maximum, armez-vous d’une bécane conséquente. Pour vous donner un exemple, ma machine est un Athlon64 avec 1Go de RAM et une GeForce6600GT et même avec ça, je constate parfois des baisses dans le framerate. Vous voilà prévenus.
L’ambiance sonore est excellente, que ce soit la radio avec ses grésillements, le bruit des turbines ou celui des armes, tout cela contribue à vous mettre comme il faut dans l’ambiance et il ne vous faudra pas longtemps, pour peu que vous ayez une bonne installation ou un casque, pour vous y croire pour de bon.
Quand je vous disais que LOMAC est une simulation et non pas un jeu d’arcade, ce n’était pas sans raison ; dès votre première mission vous pourrez en effet constater que le simple fait de décoller nécessite déjà un certain nombre de manipulations : desserrer le frein, sortir les volets, enclencher les turbines et pousser l’accélération, atteindre la vitesse nécessaire, lever le nez, adapter les volets à votre vitesse, votre angle de montée et aux vents, etc… LOMAC vous place en effet aux commandes d’appareils pour lesquels la majeure partie des phénomènes physiques et aérodynamiques réels ont été implémentés : vous aurez tout cela à gérer.
Certes, cela rebutera inévitablement ceux qui cherchent un simple soft de dogfight. En revanche, ceux qui auront le courage et la patience de s’y mettre pour de bon seront récompensés, car ils auront entre les mains une véritable simulation de qualité, avec tout le plaisir narcissique que la maîtrise peut susciter.
Ceux-là auront le plaisir de se lancer à l’assaut des chasseurs ennemis, de bombarder les unités au sol, de faire du rase-mottes au-dessus des villes et des montagnes, bref d’avoir une idée à mon avis très correcte de ce que peut être de nos jours le pilotage des avions de combat à réaction.
LOMAC est donc un jeu très exigent, tant du point de vue du joueur que du point de vue de son matériel. Répondre à ces exigences conduit à avoir entre les mains un soft de très grande qualité, mais on ne peut s’empêcher de regretter malgré tout que ce type de soft n’ait pas bénéficié d’une programmation mieux optimisée, donc pouvant tourner à plein régime sur une config plus modeste…
En effet, avant de vous lancer dans LOMAC, je ne saurais que trop vous conseiller de vous plonger dans le manuel et de vous préparer psychologiquement à aborder un soft qui ne vous épargnera rien et ne vous facilitera jamais la tâche.
Quand on parle de simulation aérienne, nous pensons tous à la référence absolue, en l’occurrence le denier Flight Simulator en date. LOMAC n’en est pas si éloigné, à ceci près qu’il vous est proposé de mener à bien des missions successives au sein d’une campagne dynamique, dont le scénario n’a que peu d’importance. Je dis « peu d’importance » parce qu’une fois lancée une mission, vous aurez bien autre chose à faire que de vous préoccuper du pourquoi du comment vous vous êtes retrouvé embarqué dans l’histoire.
Car piloter un SU-27, un MIG-29, un Falcon-16, un A10 Thunderbolt et encore bien d’autres appareils, tous aussi superbement modélisés les uns que les autres, vous demandera toute votre attention et toute votre dextérité. Je le répète, lisez le manuel. Faute de quoi vous ne serez même pas capables de décoller. Vous voilà prévenus.
Les graphismes de LOMAC sont superbes. Le cockpit de chaque appareil est un véritable bonheur de précision, ce qui peut faire peur lorsqu’on commence à réaliser que chaque bouton ou cadran présent à l’écran a une fonction réelle, et que vous allez devoir apprendre à vous en servir. Mais d’un point de vue purement graphique, donc, c’est le top. Les environnements dans lesquels vous allez évoluer sont eux aussi splendides, les bâtiments se détachant un à un sur le sol, séparés par des routes sur lesquelles vous pourrez observer, en rase-mottes, une circulation automobile.
Malheureusement, cette richesse graphique a un prix, et il est très élevé. Ainsi, pour profiter de la beauté de LOMAC au maximum, armez-vous d’une bécane conséquente. Pour vous donner un exemple, ma machine est un Athlon64 avec 1Go de RAM et une GeForce6600GT et même avec ça, je constate parfois des baisses dans le framerate. Vous voilà prévenus.
L’ambiance sonore est excellente, que ce soit la radio avec ses grésillements, le bruit des turbines ou celui des armes, tout cela contribue à vous mettre comme il faut dans l’ambiance et il ne vous faudra pas longtemps, pour peu que vous ayez une bonne installation ou un casque, pour vous y croire pour de bon.
Quand je vous disais que LOMAC est une simulation et non pas un jeu d’arcade, ce n’était pas sans raison ; dès votre première mission vous pourrez en effet constater que le simple fait de décoller nécessite déjà un certain nombre de manipulations : desserrer le frein, sortir les volets, enclencher les turbines et pousser l’accélération, atteindre la vitesse nécessaire, lever le nez, adapter les volets à votre vitesse, votre angle de montée et aux vents, etc… LOMAC vous place en effet aux commandes d’appareils pour lesquels la majeure partie des phénomènes physiques et aérodynamiques réels ont été implémentés : vous aurez tout cela à gérer.
Certes, cela rebutera inévitablement ceux qui cherchent un simple soft de dogfight. En revanche, ceux qui auront le courage et la patience de s’y mettre pour de bon seront récompensés, car ils auront entre les mains une véritable simulation de qualité, avec tout le plaisir narcissique que la maîtrise peut susciter.
Ceux-là auront le plaisir de se lancer à l’assaut des chasseurs ennemis, de bombarder les unités au sol, de faire du rase-mottes au-dessus des villes et des montagnes, bref d’avoir une idée à mon avis très correcte de ce que peut être de nos jours le pilotage des avions de combat à réaction.
LOMAC est donc un jeu très exigent, tant du point de vue du joueur que du point de vue de son matériel. Répondre à ces exigences conduit à avoir entre les mains un soft de très grande qualité, mais on ne peut s’empêcher de regretter malgré tout que ce type de soft n’ait pas bénéficié d’une programmation mieux optimisée, donc pouvant tourner à plein régime sur une config plus modeste…
