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Test de Incrazyball
InCrazyBall est un jeu au concept pour le moins surprenant : il vous faut prendre en main une balle et la diriger le plus rapidement possible le long de circuits tortueux, sans tomber dans le précipice. Loopings, tunnels et vols planés sont au programme de ce cocktail explosif. Les tracés ne sont pas sans rappeler un certain Trackmania. Micro Application nous promettait une « machine à sensations fortes », et nous avons été agréablement surpris.
Les premières impressions sont, à l’image des suivantes, assez bonnes. L’interface vous plonge dès le premier instant dans une atmosphère planante, le tout avec une interface d’une clarté irréprochable. La bande son quant à elle, est assez pauvre et se répète inlassablement, dommage.
La prise en main est très aisée, les premiers niveaux quasi enfantins sont épaulés par une aide délivrant nombre de précieux conseils. Par exemple, vous pouvez récolter sur votre chemin, de petites infos afin de mieux identifier le parcours.
Les circuits solo sont au nombre de 43, ce qui est satisfaisant étant donnée leur variété. Du circuit ultra-rapide au circuit ferroviaire, il y en a pour tous les goûts. Jouer demande une grande dextérité ainsi qu’un grand degré de concentration. Vous passerez une bonne partie du temps le doigt sur le frein pour tenir une vitesse de croisière extrêmement faible et garder un contrôle maximum. A ce sujet, la jouabilité est exemplaire : une touche pour freiner, une autre pour ralentir durablement et une dernière pour sauter, sans oublier naturellement les flèches définissant la trajectoire de la balle. D'une simplicité modèle.
Le principe du jeu est simple : finir le circuit dans le délai imparti. A chaque fois que vous en finissez un vous en débloquer un autre. Cependant, la présence de checkpoints rend la tâche plus difficile encore. Il est possible de débloquer deux circuits à la fois, à condition de terminer deux objectifs en plus du contre-la-montre. A savoir : récupérer un objet et le ramener à un endroit donné. Ces objectifs sont, pour la plupart, à la portée de tous. Il est possible de jouer longtemps sur un même circuit sans pour autant se lasser, vous pouvez toujours vous améliorer. Ainsi vous pouvez perfectionner votre temps précédent ou tenter le triplé gagnant en remplissant tous les objectifs.
Si le jeu ne passionnera pas lesdits « hardcome-gamers », InCrazyBall offre néanmoins la possibilité de créer ses propres circuits, via un éditeur intégré. D’un maniement assez souple, malgré le manque d’assistance, vous l’utiliserez parfois à l’instinct. Passé ce (très) court délai de prise en main, il deviendra simple comme bonjour de construire le circuit de ses rêves. Si vous n’avez pas la fibre créatrice, sachez que vous avez la possibilité de profiter de la communauté en téléchargeant de nouveaux circuits, créés par des joueurs pour des joueurs.
Cet aspect communautaire est renforcé par un mode multijoueur ( jusqu'à 9 simultanément), comprenant 28 cartes et 12 modes différents. De la simple course à la bataille, en passant par une sorte de football (en un contre un comme en équipe), un jeu de sumo, une chasse au trésor et bien d’autres encore ! C’est le point d’orgue de cette petite beauté, qui n’est pas exempte de défaut.
En premier lieu, on regrette l’assistance du début : les directions ne sont pas instinctives, et rendent certaines phases de jeu franchement obscures. Le demi-tour devient vite une seconde nature, essentielle mais périlleuse. La caméra change d’orientation au moment le plus inopportun, on finit assez souvent en marche avant en ayant amorcé un début de marche arrière. La manoeuvre se termine inévitablement dans le précipice !
Ce dernier peut prendre plusieurs apparences. 4 décors accompagnent les circuits : on se retrouve aussi bien en terrain volcanique qu'en milieu aqueux, il y a aussi un zone extra-terrestre et une d'un goût particulièrement douteux.. 4 environnements différents, c’est bien peu pour 43 circuits, d’autant plus que ces atmosphères sont extrêmement mornes…
En définitive, InCrazyBall est un très bon jeu, sans pour autant être excellent. Son concept procure des sensations agréables ainsi qu’un grand plaisir de jeu. Il est toutefois regrettable que le manque de clarté et la légèreté graphique, additionné à la pauvreté sonore ambiante, empêchent ce jeu d’être une véritable merveille. Espérons simplement qu’un second opus verra le jour et corrigera ces quelques défauts…
Les premières impressions sont, à l’image des suivantes, assez bonnes. L’interface vous plonge dès le premier instant dans une atmosphère planante, le tout avec une interface d’une clarté irréprochable. La bande son quant à elle, est assez pauvre et se répète inlassablement, dommage.
La prise en main est très aisée, les premiers niveaux quasi enfantins sont épaulés par une aide délivrant nombre de précieux conseils. Par exemple, vous pouvez récolter sur votre chemin, de petites infos afin de mieux identifier le parcours.
Les circuits solo sont au nombre de 43, ce qui est satisfaisant étant donnée leur variété. Du circuit ultra-rapide au circuit ferroviaire, il y en a pour tous les goûts. Jouer demande une grande dextérité ainsi qu’un grand degré de concentration. Vous passerez une bonne partie du temps le doigt sur le frein pour tenir une vitesse de croisière extrêmement faible et garder un contrôle maximum. A ce sujet, la jouabilité est exemplaire : une touche pour freiner, une autre pour ralentir durablement et une dernière pour sauter, sans oublier naturellement les flèches définissant la trajectoire de la balle. D'une simplicité modèle.
Le principe du jeu est simple : finir le circuit dans le délai imparti. A chaque fois que vous en finissez un vous en débloquer un autre. Cependant, la présence de checkpoints rend la tâche plus difficile encore. Il est possible de débloquer deux circuits à la fois, à condition de terminer deux objectifs en plus du contre-la-montre. A savoir : récupérer un objet et le ramener à un endroit donné. Ces objectifs sont, pour la plupart, à la portée de tous. Il est possible de jouer longtemps sur un même circuit sans pour autant se lasser, vous pouvez toujours vous améliorer. Ainsi vous pouvez perfectionner votre temps précédent ou tenter le triplé gagnant en remplissant tous les objectifs.
Si le jeu ne passionnera pas lesdits « hardcome-gamers », InCrazyBall offre néanmoins la possibilité de créer ses propres circuits, via un éditeur intégré. D’un maniement assez souple, malgré le manque d’assistance, vous l’utiliserez parfois à l’instinct. Passé ce (très) court délai de prise en main, il deviendra simple comme bonjour de construire le circuit de ses rêves. Si vous n’avez pas la fibre créatrice, sachez que vous avez la possibilité de profiter de la communauté en téléchargeant de nouveaux circuits, créés par des joueurs pour des joueurs.
Cet aspect communautaire est renforcé par un mode multijoueur ( jusqu'à 9 simultanément), comprenant 28 cartes et 12 modes différents. De la simple course à la bataille, en passant par une sorte de football (en un contre un comme en équipe), un jeu de sumo, une chasse au trésor et bien d’autres encore ! C’est le point d’orgue de cette petite beauté, qui n’est pas exempte de défaut.
En premier lieu, on regrette l’assistance du début : les directions ne sont pas instinctives, et rendent certaines phases de jeu franchement obscures. Le demi-tour devient vite une seconde nature, essentielle mais périlleuse. La caméra change d’orientation au moment le plus inopportun, on finit assez souvent en marche avant en ayant amorcé un début de marche arrière. La manoeuvre se termine inévitablement dans le précipice !
Ce dernier peut prendre plusieurs apparences. 4 décors accompagnent les circuits : on se retrouve aussi bien en terrain volcanique qu'en milieu aqueux, il y a aussi un zone extra-terrestre et une d'un goût particulièrement douteux.. 4 environnements différents, c’est bien peu pour 43 circuits, d’autant plus que ces atmosphères sont extrêmement mornes…
En définitive, InCrazyBall est un très bon jeu, sans pour autant être excellent. Son concept procure des sensations agréables ainsi qu’un grand plaisir de jeu. Il est toutefois regrettable que le manque de clarté et la légèreté graphique, additionné à la pauvreté sonore ambiante, empêchent ce jeu d’être une véritable merveille. Espérons simplement qu’un second opus verra le jour et corrigera ces quelques défauts…
